Quel destin tragique que celui de la belle Cendrillon! Avant qu’un beau prince ne se rende compte de la grandeur de son cœur, la jeune fille a enduré bien des peines.
Née dans une famille aimante, la douce Cendrillon a vu sa vie basculer à la mort de sa maman. Soucieuse du bien-être de sa fille, cette dernière avait souscrit à une assurance-vie et avait désigné sa progéniture comme bénéficiaire. Cependant, la dame n’avait pas laissé de testament. Qui veut envisager un décès prématuré? Personne…
En raison de cet état de choses, et comme Cendrillon n’avait pas 18 ans lorsque sa mère quitta ce monde, le montant d’assurances ne pouvait pas lui être remis. Il fallait qu’un conseil de tutelle soit mis sur pied pour administrer la cagnotte jusqu’à la majorité de la jeune fille.
Si la mère de Cendrillon avait désigné un administrateur ou un fiduciaire dans un testament en bonne et due forme, bien des maux de tête auraient été évités. Car comme on sait, le père de l’endeuillée s’est rapidement remarié avec une femme envieuse et vile qui décida de mettre son nez dans la gestion du patrimoine de la défunte.
Elle a tout tenté pour que ses propres filles, Javotte et Anastasia, mettent la main sur la prime. Que d’injustice et de chagrins inutiles! Il est d’ailleurs possible qu’en lisant ces lignes, il vous vienne à l’esprit des cas vécus encore plus retors que celle de notre innocente jouvencelle…
L’histoire a voulu que la belle Cendrillon marie le fils du roi et que tous ses soucis financiers s’envolent par magie. Mais comme il est plutôt rare qu’une fée marraine intercède dans nos vies contemporaines, mieux vaut penser à tous les détails.
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